le 6 juin 2013
« Compte tenu de l’expérience militaire que possèdent un si grand nombre de commissionnaires, ils sont particulièrement bien placés pour comprendre notre axe primaire d’intervention – soit la prévention des incidents avant qu’ils ne se produisent. »
Il ne fait aucun doute que les milieux collégiaux et universitaires ont beaucoup changé au fil des années. Les percées technologiques, l’adoption de pratiques environnementalement durables et le virage vers une autonomie plus grande de la population étudiante ont tous contribué à façonner ce nouveau paysage. Néanmoins, le plus grand changement est, de loin, l’accent accru sur la sûreté et la sécurité des campus. Un des héritages des fusillades à l’École Polytechnique de Montréal, à Virginia Tech et au collège Dawson est la démarche proactive que prennent maintenant les administrateurs scolaires des deux côtés de la frontière pour renforcer la sécurité des campus.
À la suite de la fusillade à l’Université Concordia en 1992, l’administration a assuré la mise en œuvre d’un éventail de protections et de mesures de sécurité physiques. Aucun nouvel incident ne s’est produit de ce temps.
« Il faut beaucoup plus qu’une simple présence de sécurité pour protéger notre population et nos biens. La sécurité passe nécessairement par la prévention, l’intervention et l’éducation, a souligné Jacques Lachance, directeur des services de sécurité de Concordia. Nous devons également prêter une attention particulière aux solutions de sécurité intégrées, à la surveillance, à l’analyse des tendances et à l’évaluation des risques. » C’est pour cette raison que l’Université Concordia a opté pour les services de Commissionnaires, un fournisseur canadien du secteur de la sécurité qui fournit des solutions de sécurité à ses clients aux quatre coins du pays depuis 1925. En plus de Concordia, Commissionnaires est à l’œuvre sur les campus de plus de 45 collèges et universités du Canada dont l’Université de Laval, Queen’s, UBC, l’Université Brock, l’Université Dalhousie, Acadia, St. Mary’s, l’Université Western Ontario, et d’autres encore.
Selon M. Lachance, la décision de choisir Commissionnaires Montréal était motivée d’une part par le fait que l’organisme embauche un si grand nombre de vétérans des Forces canadiennes et de la GRC et d’une autre part par son engagement à constituer un effectif multiculturel et multilingue regroupant des individus de tous les âges. Cette approche concorde très bien avec un milieu universitaire caractérisé par une mosaïque culturelle composée d’étudiants provenant de plus de 150 pays et dont la langue parlée à la maison, dans environ 15 % des cas, n’est ni l’anglais ni le français.
« Compte tenu de l’expérience militaire que possèdent un si grand nombre de commissionnaires, ils sont particulièrement bien placés pour comprendre notre axe primaire d’intervention – soit la prévention des incidents avant qu’ils ne se produisent, a expliqué M. Paul Naud, directeur du service de sécurité et de sûreté de l’Université Laval. De plus, ils ont les compétences nécessaires pour gérer toute une gamme de défis et de priorités en matière de sécurité. »
« Les besoins de sécurité d’un centre de connaissances comme un collège ou une université sont parfois très complexes, a souligné Doug Briscoe, Directeur exécutif, Commissionnaires. D’une certaine façon, l’environnement ouvert d’un campus rend parfois la sécurité plus difficile à gérer que dans une installation aéroportuaire. Outre les services d’agent de sécurité, l’équipe chevronnée de professionnels de la sécurité de Commissionnaires se tient prête à contribuer à la planification stratégique des campus, à la résolution des problèmes, à la gestion des ressources et des risques et aux améliorations opérationnelles. »
Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter www.commissionnaires.ca.